Le malaise à la SNCB est forcément plus profond que l’écume des jours : plaintes des usagers, reports d’investissements, soupçons de malversations. Dans son premier numéro, sorti en novembre 2015, j’avais publié dans Médor le résultat d’une enquête de plusieurs mois dans les arrières-gares de cette société brassant des milliards d’euros. C’est à lire ici…
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